terça-feira, 24 de abril de 2007

25 de Abril


Para a geração mais recente, esta data representa apenas mais um feriado. Para muitos, felizmente, ainda significa a conquista da LIBERDADE.




Grândola, Vila Morena é a canção composta e cantada por Zeca Afonso que foi escolhida pelo Movimento das Forças Armadas (MFA) para ser a segunda senha de sinalização da Revolução dos Cravos. A canção refere-se à fraternidade entre as pessoas de Grândola , no Alentejo, e teria sido banida pelo regime Salazarista como uma música associada ao Comunismo. Às 00h20m do dia 25 de Abril de 1974, a canção era transmitida numa rádio nacional, como sinal para confirmar as operações da Revolução. Por esse motivo, a ela ficou associada, bem como ao início da Democracia em Portugal.

domingo, 22 de abril de 2007

DIA MUNDIAL DO LIVRO






Amanhã é o dia mundial do livro.




Por quê esse dia e não outro?




O inglês Willian Shakespeare e o espanhol Miguel de Cervantes, dois dos mais importantes escritores da literatura universal, morreram exatamente no mesmo dia: 23 de Abril de 1616. Em homenagem a eles, por decisão da Organização das Nações Unidas para a Educação, a Ciência e a Cultura (Unesco), desde 1996, é comemorado nesta data o Dia Mundial do Livro e do Direito de Autor.


O 23 de Abril é também a data de uma velha tradição catalã, quando os cavalheiros oferecem às damas uma rosa vermelha de São Jorge (Saint Jordi) e, em troca, recebem um livro. Em muitos países, a data é marcada fortemente como um dia para dar livros de presente, quase como o Natal dos livros, movimentando a economia do setor.


Também é um momento para acções que colocam o livro e a literatura em destaque no imaginário dessas sociedades, tais como, por exemplo, a leitura ininterrupta do Quixote, que, na Espanha, é feita neste dia por políticos, escritores, estudantes etc, além de diversas outras acções. No Brasil, a data começa a ser lembrada

com mais força, principalmente nos últimos anos.



livros,
filhos de magia e encanto,
sonhos, devaneios....
livros filhos da didática,
rimas matemáticas...formas deformadas soltas em meio à fôrmas largas!
livros, louros do trigo...
livros...ouro e prata!
relâmpagos no fim da mata,vermelho do sol no céu!
livros, semente fértil....saber que nasce da arte!
hoje te amo mais do que tudo!
livros de todo o mundo, és minha parte,
quem te dá vida sou eu!

(retirado daqui)













quinta-feira, 19 de abril de 2007

CONFIDENCES












Je suis née à S. Pedro da Cova, à Gondomar, une ville toute proche de Porto. Mon village a longtemps exploité des mines de charbon qui sont aujourd´hui désactivées, heureusement, car il y avait beaucoup de misère, le travail était difficile et bien dramatique. Le texte ci-dessous, extrait de l´oeuvre de Zola, "Germinal", décrit bien la vie des mineurs de mon village.


- Ils me disent de me reposer, continua-t-il. Moi, je ne veux pas, ils me croient trop bête!... J'irai bien deux années, jusqu'à ma soixantaine, pour avoir la pension de cent quatre-vingts francs. Si je leur souhaitais le bonsoir aujourd'hui, ils m'accorderaient tout de suite celle de cent cinquante. Ils sont malins, les bougres!... D'ailleurs, je suis solide, à part les jambes. C'est, voyez-vous, l'eau qui m'est entrée sous la peau, à force d'être arrosé dans les tailles. Il y a des jours où je ne peux pas remuer une patte sans crier. Une crise de toux l'interrompit encore. - Et ça vous fait tousser aussi? dit Etienne. Mais il répondit non de la tête, violemment. Puis, quand il put parler: - Non, non, je me suis enrhumé, l'autre mois. Jamais je ne toussais, à présent je ne peux plus me débarrasser... Et le drôle, c'est que je crache, c'est que je crache... Un raclement monta de sa gorge, il cracha noir. - Est-ce que c'est du sang? demanda Etienne, osant enfin le questionner. Lentement, Bonnemort s'essuyait la bouche d'un revers de main. - C'est du charbon... J'en ai dans la carcasse de quoi me chauffer jusqu'à la fin de mes jours. Et voilà cinq ans que je ne remets pas les pieds au fond. J'avais ça en magasin, paraît-il, sans même m'en douter. Bah! ça conserve! Il y eut un silence, le marteau lointain battait à coups réguliers dans la fosse, le vent passait avec sa plainte, comme un cri de faim et de lassitude venu des profondeurs de la nuit. Devant les flammes qui s'effaraient, le vieux continuait plus bas, remâchant des souvenirs. Ah! bien sûr, ce n'était pas d'hier que lui et les siens tapaient à la veine! La famille travaillait pour la Compagnie des mines de Montsou, depuis la création; et cela datait de loin, il y avait déjà cent six ans. Son aïeul, Guillaume Maheu, un gamin de quinze ans alors, avait trouvé le charbon gras à Réquillart, la première fosse de la Compagnie, une vieille fosse aujourd'hui abandonnée, là-bas, près de la sucrerie Fauvelle. Tout le pays le savait, à preuve que la veine découverte s'appelait la veine Guillaume, du prénom de son grand-père. Il ne l'avait pas connu, un gros à ce qu'on racontait, très fort, mort de vieillesse à soixante ans. Puis, son père, Nicolas Maheu dit le Rouge, âgé de quarante ans à peine, était resté dans le Voreux, que l'on fonçait en ce temps-là: un éboulement, un aplatissement complet, le sang bu et les os avalés par les roches. Deux de ses oncles et ses trois frères, plus tard, y avaient aussi laissé leur peau. Lui, Vincent Maheu, qui en était sorti à peu près entier, les jambes mal d'aplomb seulement, passait pour un malin. Quoi faire, d'ailleurs? Il fallait travailler. On faisait ça de père en fils, comme on aurait fait autre chose. Son fils, Toussaint Maheu, y crevait maintenant, et ses petits- fils, et tout son monde, qui logeait en face, dans le coron. Cent six ans d'abattage, les mioches après les vieux, pour le même patron: hein? beaucoup de bourgeois n'auraient pas su dire si bien leur histoire!


Connaissez mieux mon village, cliquez ici.


En 1978? 79? (J´ai oublié l´année!), je me suis installée à Chaves, une ville située au nord du Portugal et qui fait frontière avec la Galice, une province espagnole. Depuis presque 20 ans, j´ai un un but: diffuser la langue et la culture française aux jeunes habitants de cette ville qui fréquentent l´École Secondaire Fernão de Magalhães.


quinta-feira, 12 de abril de 2007

primeiro trabalho


Le fauve agressif va attaquer! Mais surtout pas de panique, il n´est pas méchant et ses griffes ne sont pas dangereuses.